[J’ai fini] Metal Gear Solid 4 : guns of the patriots

L’épisode final… On aura attendu quand même depuis 1998 et la sortie du premier, c’est-à-dire dix ans exactement, pour voir le bout des aventures de Solid Snake. Mais il y a une grande question. Est-ce qu’après avoir tant attendu on va être récompensé par un jeu sublime du point de vue scénaristique comme du point de vue technique ? Je ne prétends pas donner la réponse universelle, mais je vais quand même donner mon avis.

Encore une fois, il y aura de nombreux spoils. Bon… Deux ans après la sortie ce n’est pas très grave, mais je préfère prévenir quand même.

Je vais tout de même commencer par l’aspect technique du jeu, qui est le moins soumis à la controverse (selon moi).

Le jeu est très joli. Très très joli. Cette phrase est maintenant classique mais « la Kojima Team repousse les limites de la machine sur laquelle ils développent« . Ils nous offrent un des jeux les plus beaux de la PS3 (ou pas). Mais le prix a payé est assez élevé, car à chaque chapitre de l’aventure on aura un temps d’installation. Le plus insupportable dans cette histoire c’est que le jeu ne s’installe jamais définitivement. Non. Si jamais vous voulez vous refaire une partie vous devrez, à chaque chapitre ré-installer ce chapitre. Mieux vaut ne pas être plusieurs à jouer sur le même compte de PS3 sinon c’est cinq minutes d’attente minimum assuré avant de pouvoir jouer.

Mais tout ça n’est que broutille. Le principal c’est ce qui se passe manette en main. Déjà le système de caméra un peu étrange des Metal Gear (caméra au-dessus de la scène) est envoyé aux oubliettes. On passe ici totalement dans le cadre d’un TPS. On voit Snake de dos et la caméra passe derrière sont épaule quand on veut tirer. On a évidemment toujours accès à une vue à la première personne comme pour le 2 et le 3, mais elle se révèle très peu utile, la visé par-dessus l’épaule étant bien assez précise. La maniabilité reste similaire à celle du 3 sur les autres points. On note quand même quelques ajouts comme la possibilité de se mettre sur le dos pour pouvoir balancer des grenades tout en étant à couvert. Mais c’est plus un gadget qu’autre chose. D’autant plus que Metal Gear est censé être un jeu d’espionnage et d’infiltration. Donc comment se porte cette partie du jeu ?

Tout d’abord, on note la non-présence un peu comique du radar Sol. Oui, ce petit bijou qui indiquait la position des ennemis, leur champ de vision, leurs goûts et la taille de leur pénis dans les deux premières itérations du jeu n’est plus présent. On comprenait aisément pourquoi il n’était pas présent dans le 3 : la technologie de l’époque ne le permettait pas. Mais là on ne voit pas ce qui l’empêche. Mais vu que Kojima n’avait pas envie de nous ressortir un jeu trop simple, même dans son mode le plus simple, il a décidé d’enlever le Sol sans raison. Pouf ! Mais on ne s’en plaindra pas, car cela rendait le jeu vraiment trop simple. Le Sol est donc remplacé par un anneau présent autour de Snake. Cet anneau nous indique la direction des ennemis ainsi que leur proximité. Pratique sans pour autant être autant de la triche que le Sol. Un bon compromis !

On retrouve la barre de fatigue du 3 qui se transforme ici en barre de stress. Plus vous êtes à découvert, en train d’être cherché par les gardes, plus votre barre se réduira. Snake aura alors de courbature et autre petit désagrément qui peuvent se révéler très embêtant durant les moments stressants. Bref la routine habituelle quoi !

Petit point un peu tendancieux : le camouflage. C’était une bonne idée dans le 3, mais cela prenait du temps à chaque changement de zone et c’était un peu longuet à la fin. Là il se fait automatiquement à chaque fois que Snake s’arrête pendant un certain temps sur une surface. Alors oui c’est sympa, mais ça perd un peu de son intérêt quand ça ce fait tout seul. D’autant plus que les déguisements comiques du 3 n’ont plus leur place (ou presque… Avec quelques facecamo bonus sympa sans plus).

Autre innovation de cet épisode : la gestion des armes. Ici elles ne vous seront plus distribuées à la manière d’un Zelda, à savoir au rythme de l’histoire. Ici vous récupérerez armes et munitions sur les cadavres. À ce moment-là deux possibilités : ou vous avez déjà l’arme et vous la vendez pour faire grossir votre fond de caisse, ou vous ne la possédez pas et vous pouvez donc la débloquer pour une petite somme. Mais pire que ça : vous pouvez acheter n’importe quelle arme, à n’importe quel moment. Tout comme certain objet tel que le mythique bandeau. Il suffit d’avoir assez d’argent. Il en va aussi de même pour les munitions. Vous ne serez jamais a sec tant que vous aurez un porte-feuille rempli (ce qui est très souvent le cas). Alors certes, ce système est libre, on joue donc comme on l’entend. Mais en revanche il peut carrément tuer le jeu. Car si vous achetez un sniper dans MGS4 vous débloquez un simili god-mode. Les soldats adverses ne réagissant que très peu à la mort de leurs compagnons tant que vous êtes loin d’eux, vous êtes tranquille pour faire du tire sur cible immobile. Et le jeu offrant de nombreux environnements ouverts et spacieux, il devient un peu trop facile de décimer une unité super entraîné de soldat gavé à la nano-machine.

On remarquera quand même certaine phase original. À savoir certaine phase de pilotage d’engin (j’en reparlerais plus tard) ou encore une phase durant laquelle on doit aider un personnage à traverser des lignes ennemi, mais sans qu’il ne nous repère (vicieux comme principe quand on y pense) !

Bref pour conclure sur l’aspect technique MGS4 est un bon jeu. Graphiquement sublime, très bonne maniabilité. On regrette juste que le système de jeu nous pousse plus vers l’action que vers l’infiltration. Et on doit presque se forcer pour s’infiltrer plutôt que de transformer le jeu en bête TPS.

Maintenant le gros du jeu : son histoire, son ambiance… Bref ce qui fait de MGS ce qu’il est.

Je vais commencé par un résumé TRÈS rapide de l’histoire, enchaîner avec ce qui m’a plu, pour finir par tout les éléments « WTF !!!! » du jeu.

Tout d’abord, cette suite nous offre enfin la suite chronologique de MGS2. C’est pas trop tôt ! On reprend donc cinq ans après les évènements de MGS2. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que « war… has changed »… Leitmotiv de Snake durant tout le premier acte, cette petite phrase est pleine de bon sens. Car si pour Snake la guerre a changé, pour le joueur c’est le jeu qui a changé. On se retrouve en plein champ de bataille du moyen orient, entouré de personnes qui ne font pas réellement attention à vous car ils ont d’autre chat à fouetter. Ça nous change de l’habituel « le héros contre le reste du monde » dont on avait l’habitude. C’est d’ailleurs aussi pour ça que l’on est tenté de flinguer à tout va. Car au final les morts que l’on fait ne sont que des victimes supplémentaires du conflit. Et le scénario commence donc avec cette infiltration au sein du conflit ayant pour ultime objectif d’aller chasser la tête de Liquid Ocelot. Bref en cinq ans, rien n’a changé : Liquid met toujours en place ses plans diaboliques tandis que Snake les contres. Tout le scénario principal se reposera là-dessus d’ailleurs. La seule différence entre cet épisode et ceux d’avant étant que l’on changera souvent de lieux, contrairement à avant où l’on restait dans une zone plutôt restreinte.

Voilà pour un résumé très global de l’histoire. Évidemment il y a moultes péripétie en tout genre et Snake n’aura pas fini d’en baver. Mais parlons en d’ailleurs de Snake. C’est un des points forts de MGS. Que ce soit Solid ou Big Boss, ils ont une classe qui en impose. Ici notre bon vieux Solid ne s’appelle plus Solid… Non, il est devenu vieux prématurément, la cause aux techniques de clonage de l’époque. On jouera donc Old Snake. Et Old Snake, c’est le seul gars qui arrive à avoir la classe dans les années 2000 en portant la moustache ! Car si ce Snake est vieux, impotent sans sa combinaison qui compense la perte de ses muscles, le fait est que son visage buriné par la guerre et l’âge en font tout de suite un personnage que l’on respecte. On a l’impression que toutes les emmerdes du monde lui tombe sur la gueule, et qu’il fait avec. Jack Bauer n’est qu’un débutant comparé à Snake. Et si le scénario du jeu est intéressant, mais pour lequel on peut rester indifférent, on ne peut pas rester indifférent devant le pauvre Snake. Plus on avance dans le jeu, moins il va bien. Si au début on peut penser que son vieillissement n’est qu’extérieur (un artifice dû à sa combinaison), à la fin la moindre bouffé de fumée lui fera cracher ses poumons, il respirera au masque à oxygène… Bref on veut nous faire ressentir toute la douleur de Snake et ça marche. J’ai personnellement été très touché par son destin. La parfaite vie de merde. Avec au bout, une probable mort par suicide pour ne pas tuer la terre entière avec Fox Die… Et suivre la fin de la croisade de Snake pour aider un monde dont il ne profitera même pas m’a fait un petit pincement au coeur. Ça m’a rappelé qu’au début du 1, il est considéré comme une légende, un héros alors qu’il ne se considère lui-même que comme un assassin. Mais là dans le 4, ses actes, même s’il y a une donnée personnelle car c’est Liquid le responsable, sont totalement héroïques. Bref Old Snake c’est du lourd et j’ai particulièrement apprécié le personnage.

Autre point particulièrement sympa : les moments mythiques que l’on joue. Je vais peut-être en oublier mais j’ai été particulièrement marqué par le combat entre les deux Metal Gear. Juste fabuleux. Une mise en scène aux petits oignons pour un combat dantesque, comme il le mérite. Autre moment particulièrement fort en émotion pour moi : le combat final. On se bat contre Ocelot en passant de jeu en jeu. C’est-à-dire qu’on commence le combat contre Liquid Snake en tant que Solid. La musique jouée est celle de MGS, bref on refait le combat final du 1. Ensuite on passe dans le 2, donc on combat Liquid Ocelot avec la musique du 2 en fond. On continue avec le 3 en devenant Naked Snake qui se bat contre Ocelot (avec Snake Eater en musique de fond) et pour finir Old Snake contre Liquid. À noter aussi les barres de vie qui changent d’apparence aussi en fonction du jeu dans lequel on est. Alors oui c’est très orienté fan-boy. Mais en tant que tel j’ai totalement apprécié. Surtout les gestes faits par Ocelot à chaque changement d’état. Bref le jeu possède des passages en apothéose comme ceux-ci qui nous font bien ressentir la fin de la saga MGS. Et c’est bigrement bon.

Mais, il y a un mais… Et pas un petit. Là on tape dans le gros mais. Celui qui tache et qui fait mal quand il nous tombe dessus.

Car si les épisodes précédent avaient leur côté nanardesque (soyons honnêtes… Un film Metal Gear ferait surement un très mauvais film d’action), il s’arrêtait à une certaine limite. Car le ridicule ne tue peut être pas, mais parfois ça gâche le plaisir. Et bien dans MGS4 ils ont oublié que ça pouvait gâcher le plaisir. On aura donc droit à moultes passages que j’ai trouvé on ne peut plus ridicule. Prenons comme exemple Raiden… Raiden… Alors au début, les premières fois qu’on le voit se battre, il est classe. Même trop classe… En fait il est tellement « je suis trop classe et trop balèse » que dès ce moment-là on ressent un malaise. Mais plus le jeu avance, pire c’est. Car on passe de Raiden : le Ninja vachement fort à Raiden : le mec immortel. C’est bien simple, Raiden et Vamp n’arrête pas de se battre durant le jeu et leur combat, qui ressemble plus à de la danse qu’à autre chose, sont ridicules. Ces deux énergumène se transperce de par en par, dans tous les sens possibles et imaginables, mais ils ne meurent pas. Jamais. Déjà là on se dit qu’on a atteint le sommet du « WTF !! ». Mais non. Kojima aime relever des défis. Avec MGS4 c’est comme s’il était monté au sommet de l’Everest du « WTF !! », qu’il avait rajouté des trucs sur le sommet pour faire un record perso. Donc après avoir subi assez de sévices pour qu’un humain normalement constitué soit mort entre 100 et 150 fois, Raiden va simplement arrêter un bateau gigantesque lancé à pleine vitesse à l’aide de son dos… Précisons aussi qu’il vient alors de se couper le bras… Après il se fait écraser par le bateau. Mais ne vous en fait pas on le retrouve dans l’acte suivant… Car non, qu’un bateau plus gros qu’un pétrolier lui passe dessus, ça lui fait ni chaud ni froid au gars !

Mais Raiden n’est pas le seul élément perturbateur du jeu.

Pour finir très succinctement sur ce que je n’ai pas aimé dans le jeu :

L’histoire d’amour entre Otacon et Naomi est assez ridicule de mon point de vue. Le moment de la mort de Naomi m’ayant particulièrement ennuyé.

Le fait qu’à la fin on regarde plus qu’on ne joue. C’était déjà un peu le cas dans les autres MGS, mais là on passe à 70% de cinématique pour 30% de temps de jeu… un peu abusé tout de même… Une place de ciné ne coûte pas 70€…

L’escouade Beauty and the Beast. Aucun intérêt en tant que boss. Aucun charisme ni de caractère. Les histoires personnelles de chaque personnage ne nous intéresse pas, d’autant plus qu’elles nous sont contées après la mort du personnage en question. Bref on se bat contre des robots et on s’en tape. On nous aurait mis un super ordinateur à dézinguer, ça aurait été la même chose. Aucun combat n’est notable, à par peut-être contre Crying Mantis, à cause de l’apparition de Psycho Mantis… C’est encore un passage dédié au fan-boy, mais ça fait sourire la première fois.

Mention spéciale de l’inutilité aux séquences d’après combat pendant lesquelles les « combattantes » se trémoussent devant nous pour venir nous faire un câlin qui nous fait perdre de l’énergie…

Et, « last but not least » : la fin du jeu. Pourquoi fallait il quelque chose après le générique de fin ? Autant la dernière séquence avec Snake dans le cimetière m’avait ému, autant cette dernière séquence m’a laissé dubitatif. Le discourt de Big Boss (car oui, il est vivant… déjà là on touchait le fond) n’a ni queue ni tête. On ne sait pas pourquoi il est là avec Zero et on ne voit pas en quoi achever un légume changerait quoi que ce soit. Mais bon. Il tue Zero et voilà… On est revenu avant Zero… Ouah… Quelle intensité dans cette fin. Débranché la prise de papi… Bref j’ai vraiment été déçu par cette fin. On a fait monter la pression durant tout le jeu pour finalement tout tuer par cette dernière séquence. Vraiment dommage.

En conclusion MGS4 est un jeu on ne peut plus unique. Il est arrivé à me faire ressentir certaines de mes plus fortes émotions de joueur (contrôler Rex a failli me coûter un pantalon) et en même temps il a réussi à me décevoir et à se ridiculiser à un point inimaginable (Raiden si tu nous regardes). Bref MGS4 c’est le jeu pour lequel je ne peux donner un avis définitif. Il est excellent techniquement et certains passages sont juste géniaux, mais d’autres points gâchent tellement le reste qu’on a l’impression de manger quelque chose de succulent qui serait à moitié moisi. Évidemment un fan de la série se doit d’y jouer. Ne serait ce que pour connaitre le fin mot de l’histoire, qui vaut tout de même le détour. Les autres auront non seulement du mal à suivre une histoire plus que tarabiscotée, mais en plus il ne pourront pas faire l’impasse sur les points faibles du jeu. Donc mieux vos faire l’impasse sur le jeu. Tout simplement.

Je ne vous dis pas rendez-vous pour MGS5, en revanche, rendez-vous pour un prochain article sur FFX (si tout se passe bien).

Mes autres articles sur la saga : MGS, MGS2, MGS3

13 thoughts on “[J’ai fini] Metal Gear Solid 4 : guns of the patriots

  1. Le pire de la saga. le systeme de point, le shop accessible à tout moment, les boss, Big boss, le systeme de rank, la mort de Zéro et tellement d’autre trucs.
    Un bon jeu d’action peut-être, mais un des plus mauvais MGS.
    Ya un côté « on va donner une explication à tous les mystères de la saga » qui dérange. On sent bien que Hideo à bossé selon les ordres de Konami qui voulait un jeu AAA, et qu’il était bien moins libre que dans PW par exemple.
    Reste le combat final contre Ocelot qui est génial !

    edit : article sympa sorti hier.

  2. Je suis globalement daccord avec toi: c’aurait pu être très bon, avec des tas de moments geniaux, mais y’a des tas de trucs nazes et une fin pire que tout ce que j’avais jamais vu. Même Southland Tales est moins ridicule.

  3. MGS 4 est un des « jeux » que je préfére sur cette Gen, beaucoup de défaut mais aussi beaucoup de qualité. On ne joue pas souvent mais quand on joue c’est généralement vraiment bien surtout dans les gros modes de difficultés. Un jeu bizarre qui à force de vouloir tout donner au joueur fini par lui donner une overdose. N’en demeure pas moins un jeu que peu de gens de cette gen atteigne en terme de qualité.

  4. J’suis tellement dégouté de pas pouvoir jouer à ce jeu. Je me suis fait tous les MGS au moins 5 fois chacun (plutôt de l’ordre de 20 fois pour le 2), mais je ne m’achèterai probablement jamais de PS3…

  5. J’ai aussi ce même mélange de sensations, à la fois déçu par certaines scènes complètement wouatzefuk (et franchement ridicules), et d’autres vraiment mémorable. La fin par exemple : Big Boss se pointe (ah ah) et laisse Snake comme seul, immobile. Cette dernière image est très forte (aboutissement de MGS2, perte du contrôle du joueur, etc.) Y a pas mal de trucs bien rendus, comme la tendance suicidaire de Snake. Et nous faire fantasmer sur le retour du bel héros du 1er épisode (peu jouable dans le deux, absent du trois), pour finalement nous filer une version moustachue qui a mal au dos en plein combat, c’est terrible !

  6. J’ai commencé mgs4 y a deux semaines et je suis bloqué à l’entrée du bateau Outer Haven. Font chier ces robots qui infinite spawn ! J’ai pas persévéré car me taper 2mn de vidéo pour 1mn de gameplay c’est lassant à force.

    Du coup j’ai commencé heavy rain (§§§!!): Il y a limite plus d’action (et fini enslaved aussi).

  7. Un très bon jeu il faut l’avouer mais il tire un peu trop sur la corde sensible des fan de mgs comparé au 3 qui arrive à être à la fois un jeu à part et un à faire partie intégrante de la saga ! le 4 ne s’adresse qu’au personne ayant un minimum de culture mgs (et encore) d’ou la mise a disposition d’une base de données Metal Gear sur le psn avant la sortie du jeu…

    Très bon mais moins proche de la perfection qu’était snake eater 🙁

  8. J’aurai joué au premier et celui ci, je me souvenais pas que les persos étaient si caricaturaux dans le premier.
    Il n’est pas mauvais, pas terrible non plus, mais ce qui tue vraiment tout c’est les personnages, d’un ridicule absolu, mention spéciale à Vampmescouillesauski… on dirait des mauvais acteurs en fait.

    Ceci dit, je rejoins ton avis sur le personnage de Snake, c’est le seul qui soit intéressant et « attachant ».

  9. Perso j’ai pas compris les free hugs après les Boss.

    Ni le mariage ridicule de Meryl et l’autre tantouze -_-

    Mais un jeu que j’ai globalement apprécié, en bon fan de la saga.

  10. Juste pour dire : j’adore ton blog. C’est bien écrit et j’aime bien ta manière de faire un test sans en faire un (bizaroïde comme phrase mais bon).

  11. Si il y a beaucoup de points avec lesquels je suis d’accord, j’aimerais quand même revenir sur un des points : « Ils nous offrent un des jeux les plus beaux de la PS3 ».

    Autant effectivement le jeu est très propre, surtout pour toutes les cutscenes, c’est vraiment super bien réalisé. Mais globalement, l’image de MGS4 est très « cache-misère ». Il y a énormément de post-process pour cacher la très faible résolution de la majorité des textures. (et le pire là dedans c’est que à chaque fois Kojima a utilisé ce genre de procédé)

    Quand on compare ça et ça (et si possible en mouvement), MGS4 est loin de m’avoir fait autant halluciner que l’avait dit, redit, et re-redit Kojima.

    Alors bien sûr qu’on ne me fasse pas dire ce que je n’ai pas dit. Je trouve MGS 4 vraiment super mignon, mais avec les gros gros titres qui ont débarqué depuis sa sortie, c’est loin d’être un des plus beau jeu de la PS3.

  12. cerise a dit :
    Juste pour dire : j’adore ton blog. C’est bien écrit et j’aime bien ta manière de faire un test sans en faire un (bizaroïde comme phrase mais bon).

    J’aime ta phrase bizarroïde car c’est exactement comme ça que je voie ces articles. Un avis qui mange pas de pain mais que je m’efforce de faire assez complet. Bref un test qui n’en est pas un. En tout cas merci. Ça fait toujours plaisir.

    __MaX__ a dit :
    Si il y a beaucoup de points avec lesquels je suis d’accord, j’aimerais quand même revenir sur un des points : “Ils nous offrent un des jeux les plus beaux de la PS3″.
    Autant effectivement le jeu est très propre, surtout pour toutes les cutscenes, c’est vraiment super bien réalisé. Mais globalement, l’image de MGS4 est très “cache-misère”. Il y a énormément de post-process pour cacher la très faible résolution de la majorité des textures. (et le pire là dedans c’est que à chaque fois Kojima a utilisé ce genre de procédé)
    Quand on compare ça et ça (et si possible en mouvement), MGS4 est loin de m’avoir fait autant halluciner que l’avait dit, redit, et re-redit Kojima.
    Alors bien sûr qu’on ne me fasse pas dire ce que je n’ai pas dit. Je trouve MGS 4 vraiment super mignon, mais avec les gros gros titres qui ont débarqué depuis sa sortie, c’est loin d’être un des plus beau jeu de la PS3.

    Honnêtement quand j’ai écris la partie graphisme je me suis dit que j’étais peu être en train de dire un truc plus gros que moi… Car je n’ai pas la PS3 et je n’ai pas joué à beaucoup de jeux sur cette console (3 pour être exacte : MGS4, Heavy Rain et Devil May Cry 4 (enfin… il me semble que c’est le 4)). Donc j’ai fait avec ma propre expérience et MGS4 m’avait semblé vraiment être un poil au dessus des réalisations PS3 moyennes. Après encore un fois c’est peut être des bêtises… Et puis pour ce qui est des graphismes je dois avouer ne pas y prêter assez attention pour avoir un avis vraiment bon ^^. Pour moi des graphismes c’est ou bon ou pas bon. Tant que mes yeux fondent pas ça me va !
    Bref j’ai rajouté un lien pour ton commentaire dans l’article pour la partie concernée. Autant laisser parler ceux qui savent.

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